La pornographie

La pornographie illustre tout à fait non seulement les tabous ou les interdits d’une société mais également ses normes. Un exemple instructif est celui de la pornographie japonaise qui résume bien l’hypocrisie de cette société japonaise.

Ainsi les organes sexuels sont floutés leur morphologie n’étant que suggérée alors que paradoxalement l’acte sexuel est filmé sans retenue.

Les thèmes récurrents filmés sont une conséquence du malaise d’une société face à une stricte hiérarchie sociale encre plus accentuée dans d’autres. Des simulations de viols sont ainsi filmées en détail alors que ce thème est interdit en France. Les scènes les plus décrites sont celles d’étudiantes, d’enseignantes ou de policières. La scène de viol permet la résurgence d’une violence contenue dans cette société très policée où la délinquance est très faible par rapport aux pays européens. Le viol de la femme illustre le statut inférieur du genre féminin dans la société nippone. En effet, la fonction d’une épouse est de ne pas décevoir son mari théoriquement et ce thème se caricaturise par la réduction en esclavage sexuel de la femme.

 

On retrouve aussi la violence de la hiérarchie sociale personnifiée par l’uniforme. Il en résulte la grande fréquence des scènes de viols comme il a été dit d’étudiantes, d’enseignantes ou de policières dont le point commun est d’avoir un uniforme. Ces scènes de viol concrétisent alors la haine inconsciente de l’autorité ressentie par le japonais moyen qui est pourtant obligé de s’y soumettre depuis des siècles.

 

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Vincent

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